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Natacha Dupuis démontre la force du résilience des Autochtones

Je me suis enrôlé dans les Forces armées canadiennes en 1997 à titre de membre de la Force de réserve, puis je me suis enrôlé dans la Force régulière en 2002. J’ai servi jusqu’en 2014, année où j’ai été libéré pour des raisons médicales. J’ai été blessé lors de mon dernier déploiement en Afghanistan lorsqu’un engin explosif improvisé a explosé. Peu après, on m’a diagnostiqué un TSPT. J’ai continué à revivre l’incident où deux frères d’armes ont péri.

Alors que j’étais un membre soutenu de l’Unité interarmées de soutien au personnel de l’époque, j’ai été exposé à Sans limites. Après avoir participé à la Course de l’Armée du Canada avec d’autres militaires blessés et malades, j’ai réalisé à quel point il était bénéfique pour mon rétablissement de faire de l’exercice physique. Je félicite le programme Sans limites de m’avoir remis dans le sport et l’entraînement.

En tant que Métis, j'ai vécu dans une réserve autochtone pendant une courte période de ma vie. Cette expérience m'a permis de voir la réalité autochtone sous un angle différent. Cela m'a montré à quel point la population autochtone est marginalisée et exclue. Cependant, j'ai aussi été stupéfait de voir à quel point ils étaient résilients malgré les mauvais traitements qui ont été infligés tout au long de l'histoire du Canada. En tant que Canadiens, nous devons être plus inclusifs et respectueux des traditions autochtones.

La Journée internationale des peuples autochtones est l’occasion idéale de démontrer la résilience de la culture autochtone et de montrer au monde à quel point elle est belle. C’est grâce à cette éducation que nous pouvons mettre fin à la stigmatisation entourant la culture autochtone.

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